Éditorial

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Voici de nombreuses années que je connais Mme Susanne Schüpfer et j’ai pu admiré son engagement en faveur de „ses enfants“. Je n’ai donc pas hésité à être membre de l’association et à prendre part à un des premiers parrainages.Entretemps, j’ai encore été convaincu lors de deux voyages au Vietnam, de la nécessité de cette aide. La visite des différentes familles parrainées a été impressionnante, eu égard au peu de moyens qui leur suffisent à avoir une vie digne de ce nom !Aujourd’hui Nha Trang connaît une grosse expansion touristique qui échappe aux plus pauvres et dont les plus riches profitent grassement. L’éducation dont bénéficient nos enfants est peut-être leur seule chance de profiter aussi de ce boom économique.

Lors de mes voyages, j’ai pu aussi constater que l’efficacité du travail de Mme Schüpfer ne reside pas seulement sur les faibles coûts, mais aussi sur le contrôle strict de la distribution des fonds sur place. Pour ce faire, Mme Schüpfer se rend deux fois par an dans le pays, examine la distribution des fonds et l’inspire, en collaboration avec les collectivités locales et les services sociaux de l’aid à fournir.

Mme Schüpfer jouit à Nha Trang d’une grande notoriété, non seulement des familles, mais aussi des autorités officielles. Elle a obtenu de l’état vietnamien une distinction et la télévision locale lui a déjà consacrée quelques émissions.

Je me suis engagé complétment convaincu dans cette collaboration et je ne peux que vous la recommander.

R. Ladner, actuaire, Bâle, février 2008

 

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